Quelques exemples d’adaptation :
- laisser plus de temps à l’élève pour l’écrit (lecture et/ou production). Pour les contrôles en classe, donner un temps supplémentaire ou proposer un sujet plus court,
- alléger les tâches écrites, privilégier l’oral à l’écrit chaque fois que possible,
- lire les consignes à voix haute ou s’assurer de leur compréhension par la reformulation,
- faire utiliser le surligneur pour se repérer dans un texte,
- lors de la notation prendre en compte le fond plus que la forme. L’évaluation de l’orthographe doit être dissociée de la note dans la discipline,
- privilégier les évaluations orales,
- soutenir, encourager et valoriser les efforts de l’élève . Attention aux commentaires pouvant être interprétés comme décourageants,
- fournir une photocopie des textes copiés au tableau ou proposer à un camarade de servir de « tuteur » à l’élève dyslexique (lenteur, erreurs orthographiques fréquentes rendant difficile le travail à la maison). L’élève tuteur pourra alors prêter ou photocopier ses cours à son camarade (demander un crédit photocopie particulier à l’établissement ),
- attention à la police utilisée en traitement de texte et aux interlignes, veiller à présenter des textes clairs (mise en page largement justifiée à droite et à gauche, pour réduire la longueur de chaque ligne), aérés, avec des caractères suffisamment grands.